Tribune de Juin 2024

Un si cher Monoprix

Dette Clamart

19,4 M€ d’argent public ont été dépensés pour accueillir Monoprix : 350€ par Clamartois, enfants compris.

Dilapidant ainsi les deniers publics, Clamart est devenue la 12ème ville la plus endettée de France parmi celles de plus de 50 000 habitants.

La concurrence du Monoprix, alors que nous disposions déjà de 4 supermarchés en centre-ville, pourrait aussi mettre à mal les commerces déjà frappés par 2 années de COVID et par les travaux de piétonnisation mal préparés qui s’éternisent.

Ingérence dans une copropriété privée

En 2022, la résidence La Chaumière lance un projet de rénovation de ses 290 logements.

Cette résidence, face au projet Le Notre porté par le maire, n’est pas du goût de ce dernier qui refuse d’autoriser les travaux… sauf à opter pour un autre style architectural ! Problème : un surcoût de 30%, d’où refus de la copropriété.

Lien de cause à effet (?) : 5 appartements sont préemptés avec nos impôts (1M€ !), donnant ainsi au maire voix à l’assemblée des copropriétaires. Dernier épisode, il lance une demande de déclaration d’utilité publique pour la requalification des commerces longeant la route du Pavé Blanc, ouvrant la voie à des expropriations, déclaration étendue comme par magie à la résidence qui n’en demandait pas tant ! Comment qualifier ces méthodes ?

Merci aux copropriétés dans la même situation de nous contacter.

Destruction du patrimoine clamartois

A Issy-les-Moulineaux une exposition est consacrée au peintre Constant Pape. L’une des pièces phares devait en être une immense toile conservée à l’hôtel de Ville de Clamart et protégée au titre des Monuments Historiques. Hélas, la toile a été totalement détruite lors de travaux, ce qui relève du code pénal. Le maire affirme qu’il ignorait tout de cette protection et fait porter le chapeau à l’architecte, oubliant que les arrêtés de protection sont toujours notifiés au propriétaire. M. Berger a la mémoire courte.

Patrimoine toujours : l’école du Jardin Parisien. Nous avions suggéré au maire d’étudier sa réhabilitation. Il a balayé cette possibilité, évoquant le coût de l’opération (sans donner le moindre chiffre) et imposé une démolition, faisant fi du bilan carbone et du plan local d’urbanisme. En effet, cette école est dans le périmètre d’un Site patrimonial remarquable, sa destruction nécessitait l’accord de l’Architecte des bâtiments de France qui s’est retrouvé devant le fait accompli. M. Berger a une étrange conception du respect des règles d’urbanisme.

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